Découvrir un métier - médiathécaire

Découvrir un métier - médiathécaire

In this episode, Gaëlle interviews a special guest - Elisabeth, a “médiathécaire” (librarian). You will learn what she loves about her job, how the library works in terms of its budget, employees and goals. She will even give you her special recommendations if you want to challenge yourself and start reading a novel in French!

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Transcript of Interview with Elisabeth.mp3

Gaelle:
Salut, je m'appelle Gaelle et je suis votre hôte. Bienvenue sur LanguaTalk Slow French.

Gaelle:
Bonjour à toutes et bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de LanguaTalk Slow French. Aujourd'hui, c'est un épisode un peu spécial. Nous allons faire une interview avec une invitée. Bonjour Elisabeth.

Elisabeth:
Bonjour!

Merci d'être avec moi aujourd'hui. Est ce que tu peux te présenter rapidement s'il te plait?

Elisabeth:
Oui, avec plaisir. Alors je m'appelle Elisabeth Figuet, j'ai 50 ans, je vis dans la banlieue lyonnaise, j'ai deux enfants et j'ai un métier que j'adore.

Gaelle:
Ahah! Donc peux-tu nous expliquer quel est ton métier, comment ça s'appelle?

Elisabeth:
Alors je suis bibliothécaire, disons médiathécaire.

Gaelle:
Ah! Donc il y a une différence. Bibliothécaire, ça, c'est le mot, on va dire à l'ancienne, le mot ancien, c'est une personne qui travaille dans une bibliothèque. Donc une bibliothèque, c'est là où on a des livres. Donc en anglais, on dit library. Et donc, quelle est la différence entre une bibliothécaire et une médiathécaire?

Elisabeth:
Alors, une médiathécaire travaille autour du média, c'est à dire tous les médias, c'est à dire DVD, CD de musique, ordinateurs et jeux. Aussi, parce qu'on est aussi ludothécaire.

Gaelle:
Et les livres!

Elisabeth:
Et les livres, toujours les livres.

Gaelle:
Donc une médiathèque. C'est en fait comme une bibliothèque, plus les autres médias. Donc, on a dit la musique, les films avec les DVD, l'ordinateur avec Internet,...

Elisabeth:
Internet, le traitement de texte...

Gaelle:
Très bien, et donc, en plus, une ludothèque.

Elisabeth:
Une ludothèque où il y a des jeux de société.

Très bien, donc des jeux de société c'est des "Board Games". Très bien. Et tu fais ce métier depuis combien de temps?

Elisabeth:
Ouh là là, ça fait bien 20 ans que je fais ça.

Gaelle:
Super. Alors, est ce que tu peux nous expliquer un peu comment fonctionne une médiathèque. Qui travaille dans une médiathèque?

Elisabeth:
Alors dans une médiathèque il y a plusieurs secteurs. Alors un secteur image avec le cinéma, les DVD avec une personne médiathècaire qui est spécialisée dans ce domaine là. Un secteur musique avec une personne aussi spécialisée là dedans. Un espace multimédia avec des ordinateurs où parfois, il y a des cours informatiques pour le public. Une ludothèque où il y a un espace de jeux. Il y a des jeux aussi de société à emprunter. Il y a des consoles pour des jeux vidéo, et autre chose...

Gaelle:
Je vais juste t'interrompre, il y a deux mots que je voudrais expliquer. Emprunter le verbe emprunter, ça veut dire "to borrow" parce que dans une médiathèque, on n'achète pas, mais on emprunte. Et l'autre mot, c'était l'informatique et ordinateurs. Ordinateur, c'est "computer". Et l'informatique, c'est tout ce qui est "IT". Donc la "technology on the laptops or computers". Vas y. Et donc le dernier secteur, c'est...

Elisabeth:
Le secteur livre. Alors il y a un secteur adulte pour tout ce qui est littérature adulte et documentaire aussi et secteur jeunesse. Voilà pour les enfants.

Gaelle:
Très bien. Et donc, dans ta médiathèque, combien de personnes travaillent?

Elisabeth:
C'est une grosse structure, donc on doit être à peu près 10, je crois, 10 employés.

Gaelle:
Et est ce que c'est une structure hiérarchique? Est ce qu'il y a eu un directeur ou une directrice?

Elisabeth:
Oui, tout à fait. Il y a une responsable de structure, directrice de médiathèque et ensuite on est par secteurs. Enfin, on travaille par secteur et on est responsable d'un fonds. On a un budget...

Alors un fonds oui c'est comme "a fund". Donc c'est avec de l'argent.

Elisabeth:
Avec cet argent, on a une somme à dépenser où on achète des documents, soit des documentaires, soit de la fiction, des histoires.

Gaelle:
Tu disais que votre mission, c'est aussi de promouvoir la lecture. C'est ça, pas seulement d'emprunter?

Elisabeth:
Oui, tout à fait. On a, on a des missions en fait. On a une charte en fait nationale. C'est la Charte des bibliothèques. On a même un manifeste en fait de l'Unesco, où nos missions sont répertoriées et...

Gaelle:
Répertorié, ça veut dire qu'il y a une liste, une liste des missions, des objectifs

Elisabeth:
Et donc voilà, une des missions, c'est de rendre accessible la culture, c'est de rendre disponible la culture au maximum de gens, au plus de publics possible. Et tous les publics sans distinction de classe sociale, de... Financière, voilà, vraiment tout le monde peut rentrer dans une médiathèque et passer un moment à l'intérieur.

Gaelle:
D'accord donc est ce qu'on a besoin d'avoir une carte d'adhérent? Est ce qu'on a besoin d'être membre pour rentrer ou non? Tout le monde peut rentrer.

Elisabeth:
Alors tu as besoin d'une carte pour emprunter parce que du coup, on va informatiquement rentrer tes documents que tu empruntes sur ta carte.

Gaelle:
Donc informatiquement, ça veut dire sur l'ordinateur, on va écrire les livres, les CD, les DVD que la personne veut prendre avec le nom de la personne.

Elisabeth:
Tout à fait. Mais par contre, si tu veux simplement venir passer un moment, une heure pour regarder un magazine, lire un extrait de livre, regarder un ordinateur, consulter Internet. Là, tu peux le faire sans carte, sans inscription, sans rien.

Gaelle:
Très bien. Et pour avoir une carte, est ce qu'il faut payer?

Elisabeth:
Alors dans la structure où je travaille, l'inscription est gratuite.

Gaelle:
Inscription, ça veut dire "subscription". Donc OK, gratuit. Donc c'est "free". Ouah! C'est incroyable! Ok, et donc, avec quel argent vous fonctionnez? Comment c'est possible de faire tourner une médiathèque alors?

Elisabeth:
En fait, on est un établissement public, donc c'est la commune, la mairie qui nous attribue des sommes, un budget pour pouvoir acheter des livres, des documents...

Gaelle:
Donc tout ça, c'est public,

Elisabeth:
Public,

Gaelle:
Super. Et donc, plus précisément pour toi, personnellement, ton métier, est ce que tu pourrais nous décrire une journée type ou une semaine type? Peut être. C'est plus facile.

Elisabeth:
Alors là, c'est très difficile Gaelle! Ha ha! Alors, sur une journée type, on peut avoir un service public, c'est à dire qu'on est... On est là pour enregistrer les livres sur les cartes. Après, on a aussi un service interne, c'est à dire qu'on est dans les bureaux et là, on fait notre travail interne, c'est à dire enregistrer les livres, travailler sur des animations, préparer des accueils de classes, etc.

Gaelle:
Oui, parce que vous travaillez aussi en collaboration avec des structures comme des écoles. C'est ça?

Elisabeth:
Tout à fait.

Gaelle:
Oui, donc, il y a un travail visible du public et un travail caché, invisible. Donc il n'y a pas de journée type. C'est ça?

Elisabeth:
Non, non, non. Après, pour pour parler de notre métier, on peut aussi faire ce que moi j'appelle la chaîne du livre.

Gaelle:
Ok, on pourrait le traduire "la chaîne du livre" par "the book chain" ou bien "The Book Link".

Elisabeth:
En partant du choix, nous, bibliothécaires, nous achetons nos livres en librairie. Le livre est réceptionné à la médiathèque. Il est enregistré en fait sur notre... informatiquement, sur notre logiciel documentaire.

Gaelle:
Oui, donc, tous les documents qui sont achetés sont ensuite mis dans des listes, tous les documents, tous les livres, les CD ont un code, un numéro spécial et donc ils sont enregistrés 'they are registred".

Elisabeth:
Donc voilà, ils ont, ils auront un code barres. On les enregistre, c'est à dire qu'ils vont être accessibles après sur le catalogue de la médiathèque, catalogue qui est consultable sur Internet,

Gaelle:
Consultable, ça veut dire on peut regarder sur Internet,

Elisabeth:
Voilà et faire une recherche. Quand on enregistre les documents, on catalogue des documents, on rentre le titre, l'auteur, l'éditeur. C'est les informations importantes.

Gaelle:
Donc, le titre, ça, vous connaissez. L'auteur, vous connaissez. L'éditeur, donc c'est comme la Maison d'édition, c'est "The Publisher".

Elisabeth:
Et on rentre aussi des... nous, ce qu'on appelle des "mots matière".

Gaelle:
Un peu comme des mots clés?

Elisabeth:
C'est des mots clés qui permettent après au public de retrouver des documents. Si, par exemple, quelqu'un cherche un document sur des loups, on tape loup sur le catalogue de la médiathèque et on a tous les livres qui s'affichent. Tous les livres qui parlent de loup,

Gaelle:
Qui parlent de loup. Loup, ça veut dire "Wolf". Juste pour la petite anecdote. Ok, très Bien,

Elisabeth:
Donc, Catalogage. Après, il y a l'équipement, c'est à dire il faut mettre des cotes sur la tranche du livre.

Gaelle:
Alors là, on a des mots techniques. Donc la tranche du livre, c'est la partie sur le côté, la partie fine sur le côté. Et une cote, c'est la petite étiquette -the little label [english]. Donc un nombre une lettre OK pour ensuite ranger. Ranger, ça veut dire "to tidy", "to sort". Ranger facilement les documents.

Elisabeth:
Ranger et retrouver les documents.

Gaelle:
Très importants! Très bien. Et dans cette chaîne, après, il y a le client, non?

Elisabeth:
Oui, oui, oui. Alors après, il y a la couverture aussi. Voilà parce qu'il faut couvrir le livre pour le protéger quand même, pour qu'il puisse sortir plusieurs fois.

Gaelle:
Donc couvrir, c'est "to cover". Parce qu'il y a "la couverture", ça, c'est physiquement la première page du livre. Et il faut la "couvrir", ça, c'est le verbe. Ça veut dire la protéger, peut être avec une matière un peu plastique.

Elisabeth:
Et après, le document arrive en rayon. Mais ce n'est pas fini parce que le but, c'est aussi de le faire sortir. Donc là, on fait tout un travail de médiation, c'est à dire parler aussi du livre, de la promotion.

Gaelle:
Et donc, est ce que vous avez un rôle important de conseil? Est-ce que les gens viennent vous voir et vous posent des questions?

Elisabeth:
Tout à fait tout à fait. Ca fait partie du côté le plus agréable je trouve du métier, on prend connaissance des documents et après, c'est à nous aussi de selon la personne que l'on a en face de soi, d'essayer de voir ce qui pourrait lui plaire et lui conseiller ce que nous on a aimé ou ce que ce qu'on a eu entre les mains.

Gaelle:
Donc, c'est vraiment du conseil adapté et personnalisé?

Elisabeth:
Tout à fait.

Et donc, est ce que quand vous travaillez dans une médiathèque, vous devez lire tous les livres de la médiathèque?

Elisabeth:
Alors moi, j'ai de la chance parce que je travaille en jeunesse, c'est à dire "jeunesse": je m'occupe des enfants de 0... Alors petite enfance: de 0 à 6 ans et de 7 ans jusqu'à 13 ans.

Gaelle:
Ok, donc, jeunesse, on peut le traduire par "youth" or "Childhood". Donc voilà, c'est les livres, la littérature pour les petits. Très bien. Et ça, c'est ta spécialité?

Elisabeth:
Oui, tout à fait. Alors, c'est vrai que les livres pour les tout petits, c'est très facile à lire, c'est rapide, donc, à chaque fois, je prends le temps quand même de les regarder. En plus, ça me sert après pour les utiliser dans mes animations. Si je vais en crèche,...

Gaelle:
Dans des écoles,

Elisabeth:
Dans des écoles,

Gaelle:
Donc, "crèche", c'est les systèmes de garde pour garder les enfants. Donc c'est "nursery" ou "preschool". Ok Donc la médiathèque, en fait, on ne reste pas à la médiathèque, mais aussi vous sortez et vous allez voir d'autres publics. Ok, donc ça pour les livres tout petits, tu arrives à tout lire. Mais pour les autres livres?

Elisabeth:
Alors pour les romans un peu plus gros, je n'arrive pas à tout lire. Je me fie à des critiques d'autres bibliothécaires.

Gaelle:
Se fier, ça veut dire "faire confiance", ça veut dire "to trust".

Elisabeth:
Mais par contre, j'essaye quand même parce que j'aime beaucoup lire et donc j'en lis. J'essaye d'en lire le maximum, de ce que je peux. C'est pour ça que je ne lis que de la littérature jeunesse. Je ne lis pas...

Gaelle:
Elisabeth a 50 ans, mais elle lit des livres, donc pour les enfants et les adolescents. Très bien. Et ce n'est pas un problème.

Elisabeth:
Non, pas du tout.

Gaelle:
Parfait. Et donc, tu nous a dit que tu fais ce métier depuis 20 ans. Est ce qu'il y a besoin d'un diplôme spécial, de faire des études spéciales pour travailler dans une médiathèque?

Elisabeth:
Oui, tout à fait. Alors bon, j'ai eu mon bac comme beaucoup. Et après...

Gaelle:
Bac, c'est le diplôme qu'on passe en France quand on a 18 ans. C'est à la fin du lycée, donc le "high school" et c'est avant l'université si on veut faire l'université

Elisabeth:
Et ensuite voilà. Ensuite, j'ai fait un DIU: "un diplôme universitaire technique" autour des métiers du livre

Gaelle:
Et en combien d'années?

Elisabeth:
2 ans

Gaelle:
Très bien. Et seulement les personnes avec ce type de diplôme peut travailler dans une médiathèque.

Elisabeth:
Non, pas forcément. Non, non, pas forcément. Parce que du coup, on est quand même... Il y a suffisamment de secteurs pour... Je pense surtout au niveau multimédia et informatique où là, il peut y avoir vraiment des gens complètement différents, avec des parcours différents.

Gaelle:
Donc, pour les personnes qui sont peut être plus dans le multimédia ou peut être la musique, le film ont des diplômes spécialisés plutôt dans ces... Sur ces sujets là. Pas le livre, mais la musique, ou le film. OK, Très bien. Alors, est ce que tu pourrais nous dire maintenant peut-être ton livre préféré si tu as un livre préféré?

Elisabeth:
Alors le premier livre que qui me vient tout de suite à l'esprit, alors c'est peut être un peu... Cliché, peut être. Mais ça serait "Le Petit Prince" d'Antoine de Saint-Exupéry. Je pense que c'est le livre qui m'a donné... Que j'ai lu, je devais avoir... une dizaine d'années,

Gaelle:
Donc environ 10 ans

Elisabeth:
Oui, et c'est celui qui m'a donné envie après de continuer à lire. Et ça a été le démarrage d'une lecture un peu... pas frénétique, mais intense.

Gaelle:
Alors Elisabeth dit que c'est peut être un peu cliché. Parce que "Le Petit Prince", c'est un livre très, très connu de la littérature française. Mais je ne sais pas si beaucoup de personnes maintenant lisent "le Petit Prince". Tout le monde connait le titre, mais je sais pas si on le lit, mais très intéressant. Et est ce que tu aurais un livre ou plusieurs à suggérer aux personnes qui apprennent le français? Un livre pas trop difficile, même quand on est en A2, B1?

Elisabeth:
Alors il y a des auteurs en fait français ... auteurs français et aussi étrangers.

Qui écrivent en français ou traduits?

Elisabeth:
Alors traduits. C'est des auteurs où je..., à chaque fois que je peux lire un de leurs livres, je ne suis jamais déçue.

Gaelle:
"Déçu" ça veut dire "disappointed". [english]

Elisabeth:
Alors c'est Jean-Claude Mourlevat. Et il y a Michael Morpurgo que j'adore. Alors évidemment, il est anglais. C'est traduit. La traduction entraîne et c'est toujours... C'est toujours magnifique. C'est des textes magnifiques.

Gaelle:
Est ce que tu aurais un titre, particulièrement

Elisabeth:
L'un de ses derniers romans, qui est très adapté, très, très simple, d'une écriture très simple. Une traduction très simple. C'est "le phare aux oiseaux"

Gaelle:
Très bien et en anglais, "le phare aux oiseaux", en fait, le titre original le vrai titre en anglais, C'est "the Puffin Keeper". Très bien et donc c'est adressé normalement pour des adolescents ce livre. Mais tu penses que pour des adultes, c'est aussi une bonne lecture?

Elisabeth:
Oui, parce que c'est très agréable. C'est une histoire, en fait, c'est comme une sorte de conte. Et je pense que des adultes peuvent aussi rentrer dans cette histoire. C'est un gardien de phare, en fait, qui va sauver un bateau en fait, qui part à la dérive, qui s'échoue. Et il va en fait sauver tous les... Ceux qui naviguent, en fait, et c'est très, très ... C'est une très, très belle histoire. Et je pense que du coup, les adultes peuvent vraiment aimer.

Gaelle:
Donc, on disait un gardien de phare, donc un phare, c'est "Lighthouse" et un gardien, c'est "the keeper". Donc ça, c'est une histoire qui se passe dans la mer avec un phare et quelqu'un qui aide, qui porte secours à des personnes sur un bateau -on a boat. Très bien! Et bien, je crois que j'ai terminé avec toutes mes questions. Merci beaucoup, Elisabeth, d'avoir accepté de faire cette interview. Merci beaucoup et à bientôt.

Gaelle:
Merci. Et à la prochaine.

Learning tips:

1. Follow the interactive transcript to read as you listen. You can replay a sentence by clicking on it.

2. To work on your speaking skills and pronunciation, try copying what Gaëlle says from time to time.

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Look out for these words, and learn them:

  • Une bibliothèque = a library
  • Une médiathèque = a multimedia library
  • Une ludothèque = a games library
  • Les jeux de société = board games
  • Les jeux vidéos = video games
  • Des cours informatique = computer classes
  • Emprunter = to borrow
  • Une carte d’adhérent = a membership card
  • Une inscription = registration, subscription
  • Un fond = a fund
  • Un catalogue = a catalog
  • Ranger  = to tidy, to sort
  • La couverture (d’un livre) = the cover
  • Les rayons = the shelves, the sections

Expression: Ce qui me vient à l’esprit = what comes to mind

References:

  • “Le petit prince”, d’Antoine de Saint Exupéry
  • Jean-Claude Mourlevat
  • Michael Morpurgo : « the puffin Keeper » (english version), «Le phare aux oiseaux»

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