Parler de la mort
By LanguaTalk
In this episode, Gaelle talks about a sad and difficult topic: death. Following the loss of her friend, she realised that death is not something we easily talk about, and we usually don’t know the appropriate words for it. You will learn how to express the loss, your condolences and how funerals take place in France. After all, death is a part of the cycle of life - we should talk about it.
You can listen below whilst reading the interactive transcript, or listen & subscribe via any podcast app: Spotify | Apple Podcasts | PocketCasts etc. See the vocab to learn.
Transcript of La mort.mp3
Bonjour à toutes et bonjour à tous. Bienvenue dans ce nouvel épisode de Languatalk Slow French. Aujourd'hui, nous allons parler d'un sujet triste et dont on ne parle pas souvent. Nous allons parler de la mort. Et je voudrais dédier cet épisode à mon ami Mehdi parce que mon ami avait seulement 40 ans et il est mort il y a quelques semaines.
Donc c'était quelque chose de très triste pour moi, d'un peu choquant parce qu'il était jeune et il était en bonne santé. Mais j'ai pensé que la meilleure façon de vivre ce moment difficile, c'était de parler de lui.
Et ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous parler de sa vie, mais je voudrais parler de la mort en général et la mort en France. Quels sont les rituels? Parce que c'est un sujet dont on ne parle pas ou pas très souvent, surtout dans nos sociétés occidentales. On n'aime pas parler de la mort. Mais ça fait partie du cycle de la vie. C'est quelque chose qui arrive tous les jours. Et donc je pense que c'est important de savoir comment on dit "I'm so sorry for your loss" ou "I'm grieving". Donc cet épisode est dédié à toi Mehdi, mon cher ami.
Donc je vais essayer de vous parler de choses un peu factuelles, juste comment les choses se passent. Mais aussi beaucoup le vocabulaire des émotions qu'on a à ce moment là.
Donc quand on nous annonce la mort de quelqu'un, c'est forcément un choc. Et je voudrais juste vous parler du verbe "mourir". Parce que qu'on dit souvent "il est mort" (au passé) ou "elle est morte". Mais on peut aussi dire au présent comme: "les gens meurent". Et souvent vous n'êtes pas habitués à entendre le présent du verbe mourir. Donc on peut dire voilà, "les gens meurent souvent quand ils ont 80 ans".
Donc pour parler de la mort, on ressent beaucoup d'émotions, des émotions difficiles, qui ne sont pas agréables. Donc on ressent de la tristesse, on ressent du chagrin. Ça, "chagrin", c'est le mot pour "grief". On peut ressentir même du désespoir si vraiment on était proche de la personne. Ça peut être vraiment terrible pour nous. Et donc on peut être avec du désespoir. Et donc pour dire que "we are grieving, we are mourning", on dit que "on est en deuil". C'est un mot un peu difficile à prononcer. On est en deuil. Et si c'était quelqu'un qui partageait notre vie, peut-être notre mari ou notre femme, ou nos enfants, eh bien, on peut ressentir un vide immense - "an emptyness". Parce que dans la maison, votre mari n'est plus là. Peut-être on peut ressentir une très grande solitude. Tout ça, ce sont des émotions normales, valides quand on vit la mort de quelqu'un.
Alors comment on va annoncer la mort? Et bien il y a plusieurs manières de le dire. On peut dire, par exemple pour mon ami qui s'appelle Mehdi, on peut dire que: "Mehdi nous a quittés" - so he left us. Ou on peut dire: "Mehdi est parti". Ce sont des manières un peu métaphoriques et qui ne sont pas toujours très claires. Par exemple, pour les enfants, ils ne comprennent pas. Si on dit que quelqu'un est parti, ils peuvent penser : "d'accord, mais il va revenir".
Donc il faut savoir à qui on parle. Et parfois il faut dire les choses clairement comme: "Mehdi est décédé" ou "Mehdi est mort".
Et donc les différentes manières pour annoncer, et bien il y a les manières très classiques, en écrivant une lettre. Mais avec notre époque moderne, on reçoit aussi des messages sur le téléphone directement ou avec un email. On peut aussi être appelé. Pour moi, c'est le frère de mon ami qui m'a appelée pour m'annoncer la terrible nouvelle. Et on peut également, la famille peut également, contacter le journal pour publier, pour écrire ce qu'on appelle "un avis de décès". Donc c'est pour annoncer que quelqu'un est mort, et il y a une section spéciale dans le journal où il y a tous les avis de décès.
Et donc si vous vous recevez un jour une annonce comme ça, quelles sont les choses à dire? Et bien les premières choses, ce sont: "toutes mes condoléances". Donc c'est un mot très similaire à l'anglais. "Toutes mes condoléances". On peut dire: "Je suis désolé pour votre perte". On a perdu quelqu'un - we've lost someone. "Je suis désolé pour votre perte". Ou "mon cœur est avec vous". Et donc oui, on n'a pas vraiment un verbe exactement pour "to grief". On va dire "être en deuil", mais on peut aussi dire "pleurer quelqu'un". Par exemple, moi je pleure mon ami.
Donc voilà, dans les premiers moments, quand on nous apprend cette nouvelle, les émotions et les mots à dire.
Je voudrais maintenant parler de comment ça se passe les funérailles. Funérailles, c'est un mot très similaire à l'anglais "Funerals".
Déjà, une information intéressante, c'est que en France, quand quelqu'un meurt ou quand quelqu'un décède, et bien la loi a changé et on considère que tout le monde est considéré comme un donneur, un donneur d'organes. Ça veut dire que les médecins peuvent prendre les organes vitaux, (le cœur, les poumons, les reins,...) pour les donner à des personnes qui en ont besoin. Avant, il fallait avoir une carte spéciale pour dire qu'on était un donneur d'organes. Maintenant, tout le monde est présumé donneur. On pense par défaut, automatiquement, que vous êtes donneur. Sauf -except- sauf si vous avez clairement écrit / dit que vous ne voulez pas. Donc ça c'est juste un petit point intéressant. Parce que la mort c'est quelque chose de très triste, mais ça peut aussi donner la vie à d'autres personnes. Et donc la loi maintenant aide dans ce sens.
Alors pour organiser des funérailles en France, il y a une obligation légale, on est obligé d'organiser les funérailles dans les six jours. Six jours après la mort. Et ça, pour moi, c'est la norme. Et donc, j'habite en Angleterre et c'était un très grand choc pour moi en Angleterre, parce que en Angleterre, il n'y a pas du tout cette obligation. Et parfois les funérailles se font plusieurs semaines ou un mois après la mort! Et pour moi, ça, c'était très choquant et très perturbant -disturbing. Parce que il y a en France cette idée que les funérailles doivent se faire assez vite. Donc une semaine maximum.
Donc il y a deux options pour des funérailles, on peut avoir soit un enterrement - a burrial- ou alors une crémation. Traditionnellement, en France, c'était l'enterrement majoritairement et la crémation était vraiment minoritaire. Et pendant longtemps, ce n'était même pas accepté par l'Eglise catholique. C'est seulement assez récemment, dans les années 1960, que l'Église catholique a accepté, a toléré l'existence de la crémation. Culturellement, les choses changent en France et on arrive à une égalité 50-50 entre les enterrements et les crémation. Donc on a vraiment un changement dans les habitudes par rapport aux funérailles.
Mais dans les deux cas, il faut que la famille de la personne qui est morte (on peut dire du défunt. "Le défunt" - the deceased), sa famille doit contacter une compagnie de pompes funèbres. Donc en anglais on dit "Funeral parlor". Et c'est cette compagnie qui va s'occuper de tout: qui va s'occuper des choses administratives pour prendre le corps, pour ensuite organiser toute la cérémonie et l'enterrement ou la crémation.
Donc pour un enterrement, quelle est la procédure? Eh bien le corps est mis dans un cercueil. Donc le cercueil, c'est cette boîte où le corps est posé. Et ensuite il y a une cérémonie funéraire où on va peut-être dire des discours, peut-être mettre des musiques, peut-être lire des poèmes. Ça, c'est très personnel, ça dépend des familles, ça dépend du défunt, de la personne morte. Mais c'est un moment spécial pour dire au revoir, pour rendre un hommage - a last tribute- pour la personne qui est morte. Et ensuite le cercueil est mis dans la terre -in the ground- dans le cimetière.
Un enterrement, il faut savoir, ça coûte cher. En termes de budget, ce n'est vraiment pas rien. Il y a une grande différence de prix, mais la moyenne -on average-, la moyenne, c'est 3 500 €. Mais il y a de très grandes différences, de très grandes variations entre 3000 et 7 000 €, ça dépend de la prestation qu'on demande, ça dépend du cercueil, ça dépend de beaucoup de choses. Mais c'est vrai que ce n'est pas du tout un acte, un événement pas cher. Pas du tout.
L'autre option, donc la crémation, et bien c'est assez similaire. Au début le corps est placé dans un cercueil. Parce que dans la loi française et dans la tradition française qui est une tradition catholique, (chrétienne catholique), et bien on ne peut pas placer le corps directement dans un linceul, -in a shroud, in a fabric-. Ça dans certaines religions, par exemple musulmanes, c'est la tradition. Mais en France, ce n'est pas autorisé, ce n'est pas légal. Le corps doit toujours être mis dans un cercueil.
Il y a aussi une cérémonie funéraire, donc avec des textes, des poèmes pour dire au revoir et ensuite le cercueil est placé dans un four crématoire, donc pour faire brûler le cercueil. Et ensuite les cendres, donc ce qu'il reste à la fin -the ashes- sont collectées et sont mises dans une urne. Il y a une idée que ça coûte moins cher de faire une crémation, mais ce n'est pas vrai. En fait, ça coûte entre 3500 et 4500. Donc ça reste un gros budget.
Ce qui est intéressant dans la tradition française, c'est: qu'est-ce qu'on fait après avec les cendres qui sont dans l'urne? Parce que si on regarde dans des films, on voit souvent des scènes qui sont très émotionnelles, très belles, où les cendres sont jetées, peut-être dans un jardin ou dans la mer. Il y a quelque chose de touchant que les gens peuvent faire avec les cendres, avec l'urne. Mais en France, en fait, c'est très encadré et il y a beaucoup de choses qu'on ne peut pas faire. Première chose qu'on ne peut pas faire, et c'était une grande surprise pour moi, c'est qu'on ne peut pas garder l'urne avec les cendres dans sa maison. C'est interdit. Je ne sais pas pourquoi, mais en France, on n'a pas le droit de garder l'urne funéraire dans sa maison. Donc on doit faire quelque chose avec.
Donc il y a plusieurs options. On peut mettre l'urne au cimetière et dans le cimetière il y a ce qu'on appelle un columbarium. Donc c'est un endroit avec des tiroirs - with drawers if you want- et on peut placer donc l'urne. Et c'est comme un mur avec plusieurs emplacements, plusieurs espaces pour beaucoup de personnes. On peut aussi enterrer l'urne, mettre l'urne sous la terre. Ou on peut disperser les cendres, jeter les cendres. Mais pas n'importe où. Not everywhere. Il y a des endroits, une liste d'endroit très spéciale. Et par exemple, on peut le mettre en pleine nature, donc dans la mer ou dans une forêt, mais pas dans une rivière où il y a des bateaux, pas dans une réserve naturelle. Donc il y a beaucoup de règles en fait, et c'est assez limité où on peut jeter les cendres.
Un dernier point que je voulais dire par rapport aux funérailles, c'est que en France depuis quelques années, il y a une volonté de trouver aussi des solutions pour les autres religions. Pendant longtemps, c'était interdit de faire une différences entre les religions. Donc il n'y avait pas vraiment de cimetières adaptés. Maintenant, dans le cimetière classique, il y a une section qu'on appelle "le carré musulman" ou "le carré juif" et donc là on peut respecter les traditions des autres religions.
En France par exemple, les carrés musulmans, il y en a seulement 80 et on sait que ce n'est pas assez parce que la population musulmane française est très grande. Il y a entre 5 et 6 millions de personnes musulmanes, donc 80 cimetières adaptés pour les personnes musulmanes. Ce n'est pas assez. Et donc il y a beaucoup de gens qui vont en Algérie, au Maroc, en Tunisie, dans leurs pays d'origine, ou peut-être même le pays d'origine de leurs parents parce que il n'y a pas la place dans les cimetières en France. Donc on a quand même un problème de ce côté là en France.
La dernière partie que je voulais aborder, c'est une fois que les funérailles sont finies, et bien il y a toute la question de l'héritage -the inheritance. Comment ça se passe? Et là aussi, la loi française est assez spéciale. Première chose très importante, c'est que, en France, c'est impossible de déshériter un enfant. Donc par exemple, moi j'ai deux enfants et que j'ai une très mauvaise relation avec un de mes enfants et que je lui dis: "si tu continues, je vais t'enlever de mon testament!". Et bien ça en France c'est impossible. La loi protège tous les héritiers légaux et donc on ne peut pas spolier,on appelle, on ne peut pas déshériter un enfant. Je sais qu'aux États-Unis c'est possible. En France, pas du tout.
En France, il y a un ordre légal de qui sont les héritiers et les enfants sont les premiers. Ensuite, il y a les parents: par exemple les frères, les sœurs ou les parents. Voilà, il y a un ordre établi que l'on ne peut pas changer.
Par contre, on peut déterminer, si on écrit un testament, on peut déterminer une proportion. Il y a une part fixe qu'on ne peut pas changer. Et cette part fixe, elle va arriver aux héritiers, donc aux enfants par exemple. Mais l'autre part, eh bien on a le droit de la léguer, de la donner à d'autres personnes. Donc, par exemple, un ami, ou alors à des associations, des organisations, des œuvres de charité. Ça, c'est possible. Mais la proportion, la partie que l'on peut donner à d'autres gens, c'est écrit dans la loi. On ne peut pas tout donner à une œuvre de charité ou à un ami par exemple.
Et donc on peut se demander: à quoi ça sert de faire un testament en France si on ne peut pas complètement choisir? Eh bien, il y a plusieurs choses que l'on peut écrire dans son testament. La première chose, c'est qu'on peut choisir pour nos funérailles ce que l'on veut: peut-être où on veut être enterré. Et ce qu'on veut un enterrement ou est-ce que l'on veut une crémation? On peut choisir des choses pour la cérémonie,... Donc on a vraiment des choix à faire pour nos propres funérailles.
On peut aussi choisir comment répartir, comment organiser l'héritage, comme je vous ai dit. Donc la partie qui va aux héritiers, on ne choisit pas, mais ensuite on peut, si on a beaucoup de possessions, si on a beaucoup de maisons, par exemple, on a une compagnie, on a beaucoup d'argent. Là, on peut choisir de dire: "Ok, cette maison, je voudrais que ce soit mon fils et cette voiture et cette compagnie, je voudrais que ce soit ma fille". Par exemple. Ça, on peut choisir.
Et aussi dans le testament, on peut choisir un tuteur pour nos enfants. Si nos enfants sont mineurs, s'ils sont encore petits, ils ont moins de 18 ans, Eh bien on peut choisir qui va s'occuper de nos enfants. Si notre femme ou notre partenaire n'est pas là, n'est plus là.
Voilà, ça y est. We are nearly at the end of this episode so it's now time to do a quick summary in normal pace French.
Aujourd'hui, j'ai décidé de vous parler d'un sujet qui est triste, qui n'est pas souvent abordé, c'est celui de la mort. Et ce qui m'a motivé à faire ça, c'est parce que j'ai perdu un ami récemment et ça a été un choc pour moi parce qu'il était jeune et je me suis dit que c'était peut-être le meilleur moyen pour moi de lui rendre hommage, c'était de lui dédier cet épisode. Et donc j'ai commencé en vous disant, voilà, quels sont les sentiments, les émotions que l'on ressent au début. Et bien il y a toute une panoplie. On a de la tristesse, du chagrin et on est en deuil. Et on peut dire aussi qu'on pleure notre ami. Quand on nous annonce la mort de quelqu'un, on peut dire que "Mehdi est parti" ou "il nous a quitté". Et ensuite notre réponse à nous et bien c'est "toutes mes condoléances". "Je suis vraiment désolé pour votre perte". Ce genre de choses très... C'est toujours très dur de parler à une famille, à des gens qui ont perdu quelqu'un, mais donc les bons mots, (il n'y a peut-être pas de bons mots), mais déjà le mot "condoléances", c'est le mot le plus important.
Et ensuite, je vous expliquais donc techniquement comment se passent les funérailles. Donc nous avons six jours en France pour les organiser et on fait appel à une compagnie de pompes funèbres qui va s'occuper de tout. Et ensuite, on a deux options: soit l'enterrement, donc dans le cimetière, dans la terre, soit la crémation où le cercueil est brûlé. Donc dans les deux cas, le corps est placé dans un cercueil. Et je vous disais ces deux choses là coûtent cher, Ce sont des budgets autour de 3000 ou 4 000 € ou beaucoup plus, c'est possible aussi. Donc ce n'est pas anodin.
Et ensuite, je vous disais, ce qui est intéressant pour la crémation, c'est que les cendres, on ne peut pas faire n'importe quoi avec. On n'a pas le droit de les garder à la maison. Et il y a vraiment des endroits bien précis où on peut jeter les cendres. Et je vous disais aussi qu'en France, on essaye un peu d'accommoder pour les autres religions, mais ça reste insuffisant. On n'a pas assez de cimetières, de carrés musulmans ou juifs par exemple.
Et enfin, je concluais en vous disant comment ça se passe pour l'héritage et que la loi française protège vraiment bien les héritiers. On ne peut pas déshériter un enfant par exemple, et qu'il y a une part fixe qui doit aller aux héritiers et une autre part que l'on peut choisir de donner, par exemple à des amis ou à des œuvres de charité.
And now, we are back to slow French.
Merci beaucoup de m'avoir écouté pour cet épisode un peu particulier. J'espère que la mort n'est pas quelque chose qui est dans votre quotidien, mais c'est une réalité. On va tous perdre quelqu'un dans notre vie ou on a déjà perdu quelqu'un et je pense qu'on ne peut pas complètement ignorer cette réalité. Elle est dure, elle est triste, mais elle fait partie de la vie. Je vous souhaite une très bonne journée et je vous dis à la prochaine! Salut.
Learning tips:
1. Follow the interactive transcript to read as you listen. You can replay a sentence by clicking on it.
2. To work on your speaking skills and pronunciation, try copying what Gaëlle says from time to time.
3. Boost your vocab by looking up words you don't understand: Reverso French - English translator
Look out for these words, and learn them:
- La mort, le décès = the death
- Triste (adj) = sad
- La tristesse = the sadness
- Le chagrin = the grief
- Le désespoir = the despair
- Etre en deuil = to be grieving
- Pleurer quelqu’un = to grieve (to cry someone)
- Ressentir un vide immense = to feel an immense void
- La solitude = loneliness
- Un avis de décès = an obituary, a death notice
- Mes condoléances = my condolences
- La perte d’une personne proche = the loss of a loved one
- Un donneur d’organes = an organ donor
- Les funérailles = funerals
- L’enterrement = burial
- La crémation = cremation
- Les pompes funèbres = funeral parlour
- Le défunt = the deceased
- Un cercueil = casket, coffin
- Rendre un dernier hommage = to pay a final tribute
- Un four crématoire = a crematorium
- Les cendres = the ashes
- Une urne = the urn
- Pas n’importe où = not just anywhere
- Les carrés musulmans/juifs = muslim/jew « squares » (sections)
- L’héritage = the inheritance
- Les héritiers = the heirs
- Un testament = a will
- Déshérité, spolier = disinherit
- Léguer = to bequeath
Want to become fluent in French as fast as possible? Check out the videos and reviews of the available French teachers on LanguaTalk. Then book a free 30-minute trial session.