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Je suis arrivé à Vinsieux quand j'étais bébé. J'ai grandi ici. Je m'y sens chez moi. Vinsieux se situent sur une colline avec de belles rues en pente. C'est un village avec de grands espaces naturels.
C'est une chance immense d'habiter ici parce que le paysage est magnifique. Il y a cinquante ans, il y avait une école et un bar à vingt yeux. Quand j'étais petit, il y avait beaucoup de fêtes de village et d'événements. Les habitants se retrouvaient régulièrement. Il y avait beaucoup de vie dans le village, mais quand je suis devenu adolescent, ce n'était plus pareil.
Il y avait moins d'événements, moins d'activités, moins de vies. Pour vingt yeux, le danger, c'était de devenir une cité dortoir. Quand des gens venaient habiter au village, c'était pour aller travailler ailleurs. Le matin, il partait travailler dans d'autres villes et le soir, il rentrait pour dormir. Les nouveaux habitants n'avaient pas la chance de rencontrer les autres habitants.
Alors si on ne faisait rien, ils ne pourraient pas découvrir et connaître le village. Je ne voulais pas que Vainzieux devienne une cité dortoir. Je voulais que la vie revienne dans mon village tous les jours de l'année. Alors j'ai décidé d'être candidat pour devenir le maire de vingt yeux. Bienvenue Avec ma famille, on allait faire des randonnées sur les plateaux et voir des lieux incroyables avec des montagnes, des gorges, des ravins, des ruines et au milieu des ruines, des cascades.
C'était un paysage magnifique. Le ciel étoilé au-dessus de vingt yeux était incroyable. Il y avait peu de lumière, donc on voyait bien les étoiles. On pouvait même voir des galaxies. Quand j'étais enfant, j'étais timide et j'aimais être seul, Mais j'adorais aller à ces événements.
Il y avait une course de voiture ou en concert de musique. Ces événements faisaient vivre le village. Tous les habitants du village, les vins airs, les attendaient avec impatience. Un festival d'art de rue. Vingt yeux avaient accueilli un festival d'art de rue.
Le festival durait en week-end. Plusieurs villages organisaient des événements et on allait en voiture, de village en village, assister à des spectacles. Beaucoup de personnes venaient à vingt yeux pour assister aux pièces de théâtre en plein air. La Castaniade avait lieu à l'automne, en octobre ou novembre, pendant la récolte des châtaignes. On faisait rôtir les châtaignes dans un grand feu et on les distribuait dans un cône en papier.
C'était un moment où les habitants de Vinsieux pouvaient se retrouver tous ensemble. Parfois, je m'ennuyais, car il se passait de moins en moins de choses dans le village. Je trouvais ça dommage parce que je savais que vingt yeux avaient du potentiel. Ça me rendait triste de voir mon village perdre de sa vitalité. Un stage un député.
Le bureau du député de l'Ardèche se trouvait dans la ville d'Annunay. Anunay est à vingt minutes en voiture de chez moi. Alors j'ai demandé à faire en stage avec lui. J'ai passé un entretien et finalement, le député a accepté de me prendre en stage pour deux semaines pendant les vacances scolaires. J'étais stressé.
Pendant mon stage, j'ai lu un dossier envoyé par mon village. Vingt yeux avaient demandé dix mille euros pour construire une aire de jeu pour les enfants. Dix mille euros, c'est une grande somme. À ce moment-là, j'ai compris que cet argent pouvait avoir un impact considérable sur vingt yeux. Ce stage a changé la personne que j'étais.
Ça a été une vraie révélation. Je me suis dit, je veux aider les gens de cette manière-là. C'est ça que je veux faire plus tard après mes études. À l'école, on apprend des choses par coeur et ensuite, on doit les réciter. Mais dans une mairie, c'est le contraire.
On ne connaît pas la solution au problème, mais on doit en trouver une. Alors, on doit faire le maximum pour trouver une solution et passer à l'action. Pour la première fois, je me sentais utile. Je me suis demandé pourquoi les choses avaient changé à vingt yeux. J'adorais mon village, mais je savais qu'il avait besoin d'aide.
Il y avait de moins en moins d'événements, Sans magasin, sans école et sans activité, vingt yeux allaient devenir en village dortoir. J'étais déçu de ne pas être accepté dans cette école. Pour moi, Sciences Po était le meilleur moyen d'avoir la vie que je voulais, d'aider les autres et d'être utile. Alors, je n'ai pas abandonné. J'ai décidé de prendre un an pour préparer le concours une seconde fois.
J'y ai beaucoup pensé. Je voulais vraiment aider mon village. Je savais que vingt yeux avaient beaucoup de potentiel. Je voulais lui redonner vie, organiser plus d'événements et avoir au moins un magasin dans le village. Alors j'ai pris une décision.
Après mon concours, je commencerai à faire campagne pour devenir maire de vingt yeux. L'examen était très difficile et je pensais l'avoir raté. Je me suis dit, je ne sais pas si je vais réussir le concours, mais au moins c'est fini. Maintenant, je peux me concentrer sur la campagne pour les élections municipales. J'ai dit à l'adjoint au maire, je me sens capable de prendre ses responsabilités.
Je veux changer les choses à vingt yeux. Je veux que notre village soit dynamique toute l'année. Et finalement, l'adjoint au maire a accepté de m'aider et de rejoindre mon équipe. Mais il m'a dit, ce sera toi le chef. Ma mère m'a dit, tu es sûr S'il y a un problème dans le village, c'est toi qui sera responsable.
Elle voulait me protéger. Elle m'a dit, pense à toi et n'oublie pas que tu es encore jeune. Mais moi, je voulais être utile et servir mon village. Quand j'ai regardé sur internet, je n'y croyais pas. J'étais accepté à Sciences Po.
J'étais vraiment surpris, mais très heureux. Et puis je me suis dit maintenant, je dois m'organiser. Je suis étudiant à Sciences Po et candidat à la mairie de Vinsieux. C'était fatigant de faire l'aller-retour. Il y avait aussi beaucoup de travail pour la campagne municipale, mais j'avais beaucoup d'espoir.
J'ai d'abord créé une équipe, puis on a préparé notre programme. J'ai voulu rassurer les habitants de vingt yeux tout de suite. Je leur ai dit, à la campagne, les maires ont souvent un autre travail à côté. Moi, je suis juste étudiant. Alors j'ai moins d'obligations qu'un maire qui a un autre travail.
J'ai compris que les habitants avaient peur parce que je n'avais pas d'expérience. Alors j'ai tout fait pour leur montrer que le plus important pour un maire, ce n'était pas d'avoir de l'expérience. Le plus important, c'était d'aimer vingt yeux, de vouloir aider les gens et de travailler pour le bien du village. C'était comme si je découvrais mon village de nouveau. J'ai rencontré tellement de gens différents, des agriculteurs, des parents avec leurs enfants, des professeurs.
Tout le monde aimait vingt yeux et puis on parlait de comment aider le village et tout le monde disait qu'ils aimaient différentes choses, son paysage, son calme ses événements et cela m'inspirait et me donnait beaucoup d'idées. J'étais très content parce que j'avais enfin réussi à faire accepter mon âge aux habitants. Maintenant, on pouvait parler de l'avenir du village et des projets possibles pour améliorer la vie à vingt yeux. J'étais stressé. Il y avait un autre candidat et je devais absolument avoir plus de votes que lui.
Je comptais chaque vote. Personne ne savait qui allait gagner. Confiné. Oui, on avait gagné l'élection, mais l'avenir était très incertain parce que le lendemain, toute la France allait être confinée à cause de la Covid dix-neuf et on ne savait pas ce qui allait se passer. Chaque semaine, on organisait un événement avec un restaurant dans village voisin.
Une semaine, on avait des pizzas. Une autre semaine, on avait des plats vietnamiens, du couscous ou de la choucroute, des hamburgers. Les habitants commandaient en avance, puis ils venaient chercher leurs plats cuisinés. Parfois, il y avait plus de cinquante commandes. C'était un vrai succès.
Les habitants se rencontrent et ont fait fonctionner l'économie locale. J'aimerais que ces événements continuent après la Covid. C'est une belle manière d'amener plus de vie dans notre village.
Je m'appelle Nora. J'ai adoré votre épisode de Madagascar. Au revoir et bonne journée.
Merci Nora.
C'est une chance immense d'habiter ici parce que le paysage est magnifique. Il y a cinquante ans, il y avait une école et un bar à vingt yeux. Quand j'étais petit, il y avait beaucoup de fêtes de village et d'événements. Les habitants se retrouvaient régulièrement. Il y avait beaucoup de vie dans le village, mais quand je suis devenu adolescent, ce n'était plus pareil.
Il y avait moins d'événements, moins d'activités, moins de vies. Pour vingt yeux, le danger, c'était de devenir une cité dortoir. Quand des gens venaient habiter au village, c'était pour aller travailler ailleurs. Le matin, il partait travailler dans d'autres villes et le soir, il rentrait pour dormir. Les nouveaux habitants n'avaient pas la chance de rencontrer les autres habitants.
Alors si on ne faisait rien, ils ne pourraient pas découvrir et connaître le village. Je ne voulais pas que Vainzieux devienne une cité dortoir. Je voulais que la vie revienne dans mon village tous les jours de l'année. Alors j'ai décidé d'être candidat pour devenir le maire de vingt yeux. Bienvenue Avec ma famille, on allait faire des randonnées sur les plateaux et voir des lieux incroyables avec des montagnes, des gorges, des ravins, des ruines et au milieu des ruines, des cascades.
C'était un paysage magnifique. Le ciel étoilé au-dessus de vingt yeux était incroyable. Il y avait peu de lumière, donc on voyait bien les étoiles. On pouvait même voir des galaxies. Quand j'étais enfant, j'étais timide et j'aimais être seul, Mais j'adorais aller à ces événements.
Il y avait une course de voiture ou en concert de musique. Ces événements faisaient vivre le village. Tous les habitants du village, les vins airs, les attendaient avec impatience. Un festival d'art de rue. Vingt yeux avaient accueilli un festival d'art de rue.
Le festival durait en week-end. Plusieurs villages organisaient des événements et on allait en voiture, de village en village, assister à des spectacles. Beaucoup de personnes venaient à vingt yeux pour assister aux pièces de théâtre en plein air. La Castaniade avait lieu à l'automne, en octobre ou novembre, pendant la récolte des châtaignes. On faisait rôtir les châtaignes dans un grand feu et on les distribuait dans un cône en papier.
C'était un moment où les habitants de Vinsieux pouvaient se retrouver tous ensemble. Parfois, je m'ennuyais, car il se passait de moins en moins de choses dans le village. Je trouvais ça dommage parce que je savais que vingt yeux avaient du potentiel. Ça me rendait triste de voir mon village perdre de sa vitalité. Un stage un député.
Le bureau du député de l'Ardèche se trouvait dans la ville d'Annunay. Anunay est à vingt minutes en voiture de chez moi. Alors j'ai demandé à faire en stage avec lui. J'ai passé un entretien et finalement, le député a accepté de me prendre en stage pour deux semaines pendant les vacances scolaires. J'étais stressé.
Pendant mon stage, j'ai lu un dossier envoyé par mon village. Vingt yeux avaient demandé dix mille euros pour construire une aire de jeu pour les enfants. Dix mille euros, c'est une grande somme. À ce moment-là, j'ai compris que cet argent pouvait avoir un impact considérable sur vingt yeux. Ce stage a changé la personne que j'étais.
Ça a été une vraie révélation. Je me suis dit, je veux aider les gens de cette manière-là. C'est ça que je veux faire plus tard après mes études. À l'école, on apprend des choses par coeur et ensuite, on doit les réciter. Mais dans une mairie, c'est le contraire.
On ne connaît pas la solution au problème, mais on doit en trouver une. Alors, on doit faire le maximum pour trouver une solution et passer à l'action. Pour la première fois, je me sentais utile. Je me suis demandé pourquoi les choses avaient changé à vingt yeux. J'adorais mon village, mais je savais qu'il avait besoin d'aide.
Il y avait de moins en moins d'événements, Sans magasin, sans école et sans activité, vingt yeux allaient devenir en village dortoir. J'étais déçu de ne pas être accepté dans cette école. Pour moi, Sciences Po était le meilleur moyen d'avoir la vie que je voulais, d'aider les autres et d'être utile. Alors, je n'ai pas abandonné. J'ai décidé de prendre un an pour préparer le concours une seconde fois.
J'y ai beaucoup pensé. Je voulais vraiment aider mon village. Je savais que vingt yeux avaient beaucoup de potentiel. Je voulais lui redonner vie, organiser plus d'événements et avoir au moins un magasin dans le village. Alors j'ai pris une décision.
Après mon concours, je commencerai à faire campagne pour devenir maire de vingt yeux. L'examen était très difficile et je pensais l'avoir raté. Je me suis dit, je ne sais pas si je vais réussir le concours, mais au moins c'est fini. Maintenant, je peux me concentrer sur la campagne pour les élections municipales. J'ai dit à l'adjoint au maire, je me sens capable de prendre ses responsabilités.
Je veux changer les choses à vingt yeux. Je veux que notre village soit dynamique toute l'année. Et finalement, l'adjoint au maire a accepté de m'aider et de rejoindre mon équipe. Mais il m'a dit, ce sera toi le chef. Ma mère m'a dit, tu es sûr S'il y a un problème dans le village, c'est toi qui sera responsable.
Elle voulait me protéger. Elle m'a dit, pense à toi et n'oublie pas que tu es encore jeune. Mais moi, je voulais être utile et servir mon village. Quand j'ai regardé sur internet, je n'y croyais pas. J'étais accepté à Sciences Po.
J'étais vraiment surpris, mais très heureux. Et puis je me suis dit maintenant, je dois m'organiser. Je suis étudiant à Sciences Po et candidat à la mairie de Vinsieux. C'était fatigant de faire l'aller-retour. Il y avait aussi beaucoup de travail pour la campagne municipale, mais j'avais beaucoup d'espoir.
J'ai d'abord créé une équipe, puis on a préparé notre programme. J'ai voulu rassurer les habitants de vingt yeux tout de suite. Je leur ai dit, à la campagne, les maires ont souvent un autre travail à côté. Moi, je suis juste étudiant. Alors j'ai moins d'obligations qu'un maire qui a un autre travail.
J'ai compris que les habitants avaient peur parce que je n'avais pas d'expérience. Alors j'ai tout fait pour leur montrer que le plus important pour un maire, ce n'était pas d'avoir de l'expérience. Le plus important, c'était d'aimer vingt yeux, de vouloir aider les gens et de travailler pour le bien du village. C'était comme si je découvrais mon village de nouveau. J'ai rencontré tellement de gens différents, des agriculteurs, des parents avec leurs enfants, des professeurs.
Tout le monde aimait vingt yeux et puis on parlait de comment aider le village et tout le monde disait qu'ils aimaient différentes choses, son paysage, son calme ses événements et cela m'inspirait et me donnait beaucoup d'idées. J'étais très content parce que j'avais enfin réussi à faire accepter mon âge aux habitants. Maintenant, on pouvait parler de l'avenir du village et des projets possibles pour améliorer la vie à vingt yeux. J'étais stressé. Il y avait un autre candidat et je devais absolument avoir plus de votes que lui.
Je comptais chaque vote. Personne ne savait qui allait gagner. Confiné. Oui, on avait gagné l'élection, mais l'avenir était très incertain parce que le lendemain, toute la France allait être confinée à cause de la Covid dix-neuf et on ne savait pas ce qui allait se passer. Chaque semaine, on organisait un événement avec un restaurant dans village voisin.
Une semaine, on avait des pizzas. Une autre semaine, on avait des plats vietnamiens, du couscous ou de la choucroute, des hamburgers. Les habitants commandaient en avance, puis ils venaient chercher leurs plats cuisinés. Parfois, il y avait plus de cinquante commandes. C'était un vrai succès.
Les habitants se rencontrent et ont fait fonctionner l'économie locale. J'aimerais que ces événements continuent après la Covid. C'est une belle manière d'amener plus de vie dans notre village.
Je m'appelle Nora. J'ai adoré votre épisode de Madagascar. Au revoir et bonne journée.
Merci Nora.
Podcast: Duolingo French Podcast
Episode: Le plus jeune maire de France (The Youngest Mayor in France)