Et donc je pensais que c'était le moment idéal en ce début d'année deux-mille-vingt-cinq de vous parler justement de ce qui s'est passé dans cette cathédrale, de qu'est-ce qui s'est passé avec ce feu, cet incendie, mais surtout quelles ont été les étapes après en cinq ans pour reconstruire cette cathédrale. Alors c'est parti pour vos vingt minutes de français où on se plonge dans l'histoire récente de la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Alors commençons déjà avec l'incendie. Donc incendie c'est un synonyme de feu fire. Alors comment ça a commencé Notre-Dame de Paris c'est une très vieille cathédrale et elle avait eu besoin d'avoir des travaux pour rénover sa flèche.
La flèche c'est un mot important qu'on va beaucoup entendre, c'est the spire donc la partie qui était très haute au-dessus des toits de la cathédrale et bien cette flèche avait besoin d'être rénovée et on avait organisé prévu les travaux de rénovation et il y avait des des échafaudages qui avaient été installés tout autour et ce qui est un peu ironique c'est que on avait pris beaucoup de précautions, les gens avaient fait très attention en installant ces échafaudages pour ne pas abîmer le toit ou la flèche et malheureusement un incendie a commencé donc le quinze avril deux-mille-dix-neuf, on ne sait pas comment exactement il y a une enquête de police, donc les policiers cherchent toujours à trouver les origines de ce feu mais une chose est sûre c'est que le feu a commencé en fin d'après-midi donc vers dix-huit heures dix-neuf heures, il a commencé vers les échafaudages, vers la flèche et très rapidement le feu s'est propagé, il a avancé, il a bougé dans tout le toit de la cathédrale Parce que c'est toute une structure avec du bois et c'était un bois sec, très ancien très vieux et quand le feu a commencé et bien il a continué dans tout le toit de la cathédrale.
Ce feu, cet incendie a duré longtemps, il a duré quinze heures et beaucoup de pompiers sont intervenus, six-cents pompiers ont été mobilisés et ont travaillé et ont lutté contre le feu. Quelque chose d'essentiel s'est passé, la flèche est tombée. La flèche s'est effondrée ce collapsed et ça ça a cassé des choses très importantes dans le l'église donc au niveau de l'architecture même de l'église et on avait très peur que toute la cathédrale tombe, toute la cathédrale s'effondre parce que des points vraiment essentiels, des points clés pour tenir la cathédrale étaient endommagés, étaient abîmés. Mais grâce au travail incroyable des pompiers et bien la cathédrale est restée intacte, il y a seulement une partie qui a été abîmée et ça c'est presque un peu un miracle. Bien sûr c'est le travail humain des pompiers, mais c'est vrai que quand on a vu les images de cet incendie, de ces grandes flammes, c'était très impressionnant.
Beaucoup de gens ont pensé, c'est fini. Notre-Dame de Paris va disparaître. Et bien non. En fait les dégâts de Damage's, les dégâts ont été assez petits si on compare à les possibilités. Par exemple toutes les œuvres d'art ont été protégées, l'orgue, The the Yourgen, l'orgue a survécu et vraiment la structure même de la cathédrale a tenu.
Et ça c'est vraiment assez incroyable. Je ai dit on ne sait toujours pas exactement pourquoi le feu a commencé, comment il a commencé. À un moment on a parlé d'une peut-être une intention criminelle, peut-être que quelqu'un avait volontairement commencé le feu, mais ça non c'était une hypothèse, il y a le feu, mais ça non c'était une hypothèse, il y avait une enquête mais c'est une ce n'est pas vrai, ce n'était pas une intention criminelle. Donc cet incendie a été un événement très marquant assez traumatisant et qui a vraiment quand la cathédrale Notre-Dame de Paris a brûlé et bien quand la cathédrale Notre-Dame de Paris a brûlé et bien ils s'en rappellent. Ils savent à quel moment devant quelle télévision ou devant quelle information sur internet ils ont appris la nouvelle parce que c'était vraiment une information choquante et toutes les chaînes de télévision ont montré ces images en France mais également à l'étranger.
Moi j'habitais déjà en Angleterre et je me rappelle très bien de voir ces images de la cathédrale en feu et les émotions ont été très très fortes. Beaucoup de Français ont été vraiment émus ce mur et ont même pleuré et beaucoup d'hommes et de femmes politiques se sont exprimés, ont arrêté leur travail par exemple Emmanuel Macron a arrêté quelque chose pour venir devant la cathédrale pour faire un discours. Donc ça a vraiment été un choc national et international. Et c'est ce côté international qui m'avait beaucoup surprise à l'époque parce que les Français aiment cette cathédrale on le sait. Les Français sont fiers de cette cathédrale, fiers ça veut dire ça aussi on le sait.
Mais la l'émotion qu'on a vu du Japon aux États-Unis en Australie ça ça m'a beaucoup impressionné. Et ça s'est vu, ça s'est traduit par quelque chose de très concret, de très visible, c'est que des milliers de personnes ont donné de l'argent pour reconstruire Notre-Dame. Très vite peut-être le jour après l'incendie, une ligne spéciale, un compte spécial a été ouvert pour recevoir des dons, ce don c'est l'argent que les gens voulaient donner et on n'a jamais vu ça. La vitesse et la quantité d'argent qui ont été donnés, vitesse et la quantité d'argent qui ont été donnés c'était juste incroyable, c'était un record. Au total on a récolté, on a eu neuf-cent-millions d'euros, neuf-cent-millions d'euros et c'était des gens très différents.
Il y avait des gens extrêmement riches, donc les gens les plus riches de France par exemple ont donné et ont beaucoup donné, c'est vrai que c'était la majorité des dons. Mais il y avait aussi des gens très simples, des gens inconnus, des Français de tous les jours qui ont donné donc des des enfants, des retraités, des gens au chômage parce que les gens ont été extrêmement touchés. C'était aussi incroyable de voir qu'il y avait une vraie diversité dans leur religion. Il y avait des chrétiens, des musulmans, des juifs, des personnes athées donc qui n'ont pas de religion. Donc ce n'était pas quelque chose parce que c'était une église, c'était plus que ça.
Notre-Dame de Paris, on a vu à ce moment-là que c'était vraiment un symbole quelque chose de très fort et je pense on ne sait pas exactement le symbole de quoi les gens ne pouvaient pas vraiment expliquer mais il y a eu quelque chose de très fort. Et ces dons sont venus de France mais aussi beaucoup d'autres pays. Au total il y avait cent-trente-cinq pays qui ont contribué, qui ont donné. Donc je pense que c'est incroyable cent-trente-cinq et beaucoup beaucoup de dons sont venus des États-Unis. Et ça c'était deux jours après l'incendie, il y avait déjà neuf-cent-millions d'euros récoltés.
Donc une fois qu'on avait cet argent très vite la décision a été prise de reconstruire parce que notre dame n'était pas tombée, ne s'est pas effondrée, ne s'est pas cassée. Donc il y avait une possibilité de la reconstruire et il y avait l'argent pour la reconstruire. Donc il fallait faire les choses en deux étapes. La première étape c'était sécuriser la cathédrale parce que vous imaginez après un incendie comme ça, il y avait beaucoup de débris beaucoup de débris par terre, des morceaux de bois, des morceaux de pierre, de métal. Donc il fallait enlever toutes ces choses qui étaient tombées et il fallait aussi protéger le trou parce que quand la flèche est tombée dans le toit elle a fait un énorme trou et si on laissait ce trou comme ça et bien la pluie pouvait rentrer et vraiment abîmer l'intérieur de la cathédrale.
Donc il fallait installer une sorte de toit temporaire, un grand toit en plastique si vous voulez pour protéger l'intérieur de la cathédrale. Et ça cette première étape et bien ça a pris longtemps, ça a pris deux ans parce que il y avait le Covid à ce moment-là et donc ça a stoppé, ça a interrompu tous ces travaux. Donc on a pris un peu du retard parce qu'il y a quelque chose qui est important, c'est que Emmanuel Macron donc le président de la République quand il est venu voir la cathédrale au moment où il quand il est venu voir la cathédrale au moment de l'incendie, il a dit quelque chose de très important, il a dit cette cathédrale nous allons la reconstruire et nous allons la reconstruire en nous allons la reconstruire en cinq ans. Donc il a donné une date et c'était cinq ans. Ça semblait impossible, irréaliste.
Cinq ans pour des travaux comme ça, c'était c'était fou. Mais donc il y avait vraiment cette pression de respecter un calendrier de cinq ans. Donc avec le covid déjà on a perdu du temps. On arrive maintenant à la deuxième étape vraiment de la reconstruction. Il fallait reconstruire le toit qui avait brûlé, il fallait reconstruire les arcs à l'intérieur en pierre et il fallait reconstruire la flèche qui était tombée et qui avait complètement brûlé.
Il faut savoir que le toit on appelle ça la charpente, qui font la structure du toit, c'est immense et à l'époque avant l'incendie on appelait la charpente de Notre-Dame la forêt parce que pour construire cette charpente on avait utilisé à l'époque donc au douzième siècle, douzième et treizième siècle, on avait utilisé mille-trois-cents chênes. Le chêne c'est une espèce d'arbre, c'est un wok. Donc mille trois cents chênes c'est énorme et donc cette charpente, ce toit de la cathédrale on l'appelait la forêt. Et bien pour reconstruire cette charpente, on a encore utilisé des chênes et on a coupé deux-mille chaînes donc encore plus que à l'époque. C'était des très vieux chaînes, des chaînes de deux-cents ans et qui étaient très très haut, qui faisaient plus de vingt mètres, donc immense.
Une question s'est posée très vite, c'était est-ce que on refait comme avant l'incendie Donc est-ce qu'on respecte les plans du douzième siècle est-ce qu'on respecte les plans du dix-neuvième siècle parce que la cathédrale avait eu d'autres rénovations et donc il y a eu des très grands débats parmi les spécialistes, les experts, mais aussi dans la population française et il y avait une question particulièrement c'était pour la flèche, est-ce qu'on refaisait la même flèche à l'identique ou est-ce qu'on faisait une flèche très différente moderne. Un peu comme sur le modèle du Louvre, vous connaissez ce musée à Paris, et bien le Louvre c'est un bâtiment très ancien, mais il y a cette magnifique pyramide en vert devant et ça c'est un monument très très moderne. Et donc il y a eu toute cette question est-ce qu'on fait du moderne Est-ce qu'on fait une copie de l'ancien La conclusion ça a été de faire une copie de l'ancien donc la flèche est la même maintenant on a retrouvé exactement la même. Le travail qui a été effectué a été un travail impressionnant pour de nombreuses raisons mais si vous cherchez des documentaires sur internet vous pouvez trouver des petits films qui vous montrent tout le travail.
Et ce qui m'a beaucoup impressionnée, c'est la volonté, l'envie de la part de la France, du gouvernement, des experts de vraiment respecter les techniques anciennes et d'essayer de réutiliser le maximum du matériau qui était déjà là. Donc juste un morceau de pierre, un fragment de bois de pierre, il voulait essayer de garder ça. Pas seulement de dire ok on va recommencer avec du neuf et après c'est caché ce n'est pas grave. Non ils ont réutilisé le matériau, ils ont observé compris les méthodes de l'époque donc les méthodes du moyen-âge bien sûr avec aussi des techniques modernes pour analyser tout ça. Mais donc c'était un travail extrêmement compliqué extrêmement dur et en plus il y avait cette contrainte de temps de respecter les cinq ans que le président Emmanuel Macron avait annoncé.
Donc tout ce travail-là a été vraiment fascinant notamment grâce à des experts et donc les gens qui ont travaillé sur le chantier de Notre-Dame de Paris, ce sont des gens avec des métiers assez rares. Par exemple il y avait des archéologues mais aussi des sculpteurs sur pierre pour refaire les sculptures ou pour recouper des morceaux de pierre pour faire les arcs. Il y avait des gens pour travailler sur le bois, the the gouges, donc pour faire le toit mais également les sculptures en bois. Et un autre métier encore plus rare quelqu'un qui travaille sur les orgues donc l'instrument de musique qu'on trouve dans les églises parce que l'orgue n'a pas été détruit mais il a été très très abîmé et il fallait faire un très gros travail sur l'orgue. Et bien tous ces spécialistes, la majorité étaient des Français, mais il y avait aussi des spécialistes du monde entier par exemple pour l'orgue et bien c'était un homme belge, mais il y avait aussi pour le bois, pour la charpente, pour le toit quelqu'un qui venait des États-Unis, il y avait des Allemands, donc c'était vraiment un chantier international.
Et quand on entend les témoignages des gens qui ont travaillé sur ce chantier, ils sont assez impressionnés, assez émerveillés d'avoir travaillé sur ce chantier assez exceptionnel, assez hors norme. Donc voilà pour le travail en deux parties, d'abord sécuriser la cathédrale et ensuite reconstruire et ils ont réussi, ils ont réussi à tenir les cinq ans annoncés par le président. Et ça, c'est ma dernière partie, c'est toute la portée politique de cette reconstruction. Je vous ai dit Emmanuel Macron le jour après l'incendie, il a annoncé on va reconstruire la cathédrale dans cinq ans. Mais ça, il ne savait pas du tout si c'était possible.
Emmanuel Macron ce n'est pas un archéologue, ce n'est pas un spécialiste des monuments anciens. Pourquoi est-ce qu'il a annoncé ça bien bien sûr il y avait un enjeu politique pour deux choses. Déjà la date des cinq ans ce n'est pas une date aléatoire, il s'en a random date. Cinq Cinq ans c'était potentiellement pour son deuxième mandat. Il était président, il y allait avoir des élections dans trois ans, s'il était réélu donc encore une fois président et bien il serait là pour la grande réouverture.
Et c'est vrai c'est ce qui s'est passé. Mais aussi le président voulait vraiment faire de cette reconstruction de Notre- quelque chose de très symbolique. Il voulait que ce soit un symbole d'unité, que tous les Français soient contents et soient motivés par ce projet. Et ça peu importe les religions, la culture, le parti politique. Vraiment quelque chose d'une unité en France.
Ensuite il voulait aussi que cette reconstruction soit un peu un spectacle, la vitrine pour montrer le savoir-faire, les techniques françaises. Et enfin c'était une sorte de métaphore sur son style politique pour montrer quand moi je prends une décision, si je dis cinq ans et bien c'est cinq ans. Je vais jusqu'au bout, je réalise mes promesses. Donc ça c'est vraiment une portée politique. Et il espérait, il voulait que avec cette réouverture de la cathédrale en deux-mille-vingt-quatre, les Français oublient un peu leurs problèmes, leurs disputes et toutes les choses qu'ils critiquent contre le président.
Waouh ça a un peu marché mais pas beaucoup. On a vraiment trop de problèmes politiques en ce moment en France et donc il n'y a pas vraiment eu une une pause si vous voulez dans les critiques. C'était oui les Français étaient très contents de cette réouverture mais il n'y a pas eu ce moment un peu magique où les Français ont dit ok le président a fait quelque chose de bien. Donc ça ça n'a pas vraiment marché. Et enfin je voulais terminer en vous disant ok quelles ont été les réactions du public quand la cathédrale a rouverte.
Et bien j'ai lu la presse internationale donc j'ai lu des articles dans la presse espagnole, italienne, anglaise, américaine et vraiment toutes les réactions vont dans le même sens, tout le monde dit waouh c'est magnifique, c'est incroyable, c'est beau parce que maintenant dans la cathédrale ils ont nettoyé, ils ont lavé toute la cathédrale et donc elle a une couleur blanche fantastique et que on n'avait pas vu la cathédrale blanche comme ça depuis des siècles. Donc vraiment apparemment c'est fantastique. Le résultat final est incroyable et il y a vraiment une lumière et une chaleur dans cette cathédrale qui est magnifique. Aujourd'hui j'ai décidé de vous parler d'un événement qui s'est passé récemment dans les cinq dernières années et qui concerne un monument historique la Notre-Dame de Paris. Je ne sais pas si vous vous en souvenez, mais en deux-mille-dix-neuf, il y a eu un grand incendie qui a brûlé une grande partie de la cathédrale et on a vraiment eu peur à l'époque que la cathédrale s'effondre et disparaisse.
Mais très vite les pompiers ont quand même réussi à maîtriser l'incendie et très vite le président de l'époque Emmanuel Macron avait annoncé que la cathédrale allait être reconstruite. Et ça a été possible grâce aux dons qui sont venus vraiment de la France entière et du monde entier et notamment des grandes fortunes françaises, mais pas seulement aussi des petites gens, des retraités, des jeunes et ces dons-là ont été tellement importants qu'on n'a jamais manqué d'argent pour ce chantier. On a récolté neuf-cent-millions d'euros, ce qui est hors norme, c'est juste exceptionnel et donc l'argent n'a jamais été un problème pour finir ce chantier, pour faire ce chantier. Une fois que l'incendie a fini, il a fallu procéder à la première étape qui était de sécuriser la zone, donc on a enlevé tous les débris et ensuite on a, ils ont fabriqué une sorte de toit temporaire pour protéger l'intérieur de la cathédrale. Et ça déjà ça a pris deux ans notamment à cause du Covid qui a ralenti, qui fait une pause de presque un an dans ces travaux-là.
Ensuite seulement la deuxième phase est arrivée, c'était celle de la reconstruction et ça je vous ai dit c'était un travail qui a nécessité énormément d'experts du monde entier avec des métiers très très spécialisés et très techniques qu'on a dû couper deux-mille chênes pour pouvoir reconstruire tous les éléments en bois du toit et qu'ils ont eu un souci de garder les techniques anciennes et le maximum de choses du passé en introduisant bien sûr quand même des choses plus modernes, avec des techniques quand même modernes, mais en respectant le passé. Il y a eu de nombreuses questions sur les choix de architecturaux, de comment faire, mais au final par exemple la flèche est restée à l'identique. On a reconstruit exactement la même flèche. Et donc ce pari présidentiel de dire dans cinq ans la cathédrale sera reconstruite et bien ça a été tenu, c'est vrai cinq ans plus tard le sept décembre deux-mille-vingt-quatre, la cathédrale a rouverte en présence de nombreux chefs d'état étrangers et de Emmanuel Macron et ça a été une vraie réussite. La les gens qui ont visité les journalistes ont été unanimes pour dire que le résultat est merveilleux, que la cathédrale est vraiment sublime et que les travaux ont été vraiment exceptionnels.
Mais l'enjeu qui était politique pour Emmanuel Macron de montrer une unité de la France et surtout de montrer que lui était le président qui avait réussi à faire ça et bien l'avenir nous le dira. On ne sait pas si vraiment les gens se souviendront de lui comme ça ou bien les crises politiques sont vraiment trop importantes et donc ce chantier de Notre-Dame de Paris ne restera pas associé de manière positive à son nom. Seul l'avenir nous le dira. Donc pour conclure vraiment cette cathédrale Notre-Dame de Paris est un symbole, quelque chose de très important dans la que les gens ont massivement donné de l'argent et grâce à cet argent et grâce à une volonté politique très forte et bien en cinq ans seulement la cathédrale a été reconstruite et ça c'est vraiment une prouesse quelque chose de assez exceptionnel. Mais je pense que quand même ça pose la question de pourquoi Notre-Dame et pas les autres parce qu'en France il y a beaucoup d'autres églises, cathédrales, châteaux qui ont besoin d'argent pour être rénovés et bien l'argent n'est pas là.
Les gens ne donnent pas pour ce genre de rénovation, donc n'y a pas eu un effet Notre-Dame où les gens auraient pris conscience que c'est important de donner de l'argent non ça a été pour Notre-Dame parce que c'était un vrai choc mais il n'y a pas d'effet sur le long terme pour les autres monuments en France. Merci beaucoup de m'avoir écouté pour ce long épisode. J'espère que cela vous a intéressé. Regardez des vidéos sur internet pour voir cette reconstruction, c'est assez incroyable. Je vous souhaite une très bonne journée et je vous dis à la prochaine.
Salut. Merci et à la prochaine.